Mon recueil est en vente à l’adresse suivante :
http://www.edilivre.com/viens-vis-vois-bratiska-byron.html
Autrement, vous pouvez trouver sur cette page des poèmes que j’ai écrit durant ces deux dernières années :
- Avec_Elle
- L’Homme_aux_quatre_visages
- L’air du temps amoureux
- 50_ans_de_mariage
- La_prison
- 6 mois avec Toi
- La chute
- Milles_étoiles
- L’athlète
- La_Foudre_et_la_Vie
- Méditation_apocalyptique
- pour joana
- Joana2
- Joana3
- Joana4
- Joana5
- Le Noir et le Rouge
- La lumière
- La Montagne
- La lune
- Le bateau
- joana6
- joana7
- Le temps
- La midinette
- Un rêve
- La France
- Satan
- Le chômeur
- L’existence
- L’orage
- joana8
- joana9
- L’heureux exil
- Napoléon
- Une inquiétude
- Un volcan
- Un voyage
- Une évasion
- La bohème
- Le chant du mendiant
- Une course martiale
- La mer
- L’Histoire
- Ce matin
- Les mains d’une femme
- La marche de l’Humanité
- Mon inspiration
- Le Chaos
- Un trésor
- La stèle
Vous avez des commentaires ou vous écrivez des poèmes ? N’hésitez pas à les publier ci-dessous … 😉
hello Bratiska
j’ai lu quelques uns de tes poemes et j’ai vraiment bien aimé
au plaisir de continuer à découvrir tes mots
bien à toi
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Pensées nocturnes
Dans les vicissitudes passées
A l’aube d’un esprit ébranlé
Cortex étouffé, accéléré
Par le regret d’une âme souillée
Sous l’illusion d’une impression
D’être, par moment, le simple pion
D’une apparente aliénation
De vils espoir, d’aucune passion
Trier, effacer et transcender,
Une nouvelle vie va s’imposer
Où l’existence prend tout son sens
Que seul le cœur a en semence
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Ton cou entre mes mains
Que je saisis à desseins
Tu me souris
Je te le rends avec mépris
M’afférant à la tâche
D’une étreinte sans relâche
Tu te flétris
Je te souris
T’observant de mes yeux de fiel
Les tiens se levant vers le ciel
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L’ayant vue des heures chanter
Je me dis qu’il fallait tenter
Je la rejoignis dans sa loge
Je hasardais une éloge
En lui frottant les hanches
Déjà mon esprit flanche
« Je me dois d’être fidèle », dit-elle
Je t’offrirais uniquement ma rondelle
D’accord madame, balbutiais-je
Je sentais pour moi un privilège
Puis par de douces caresses
Sa bienséance je transgresse
La quittant, je perçus une larme
De sa jouissance j’eus été l’alarme
Je sortis la gorge noué
Ne sachant que lui avouer…
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BRATISKA

Des vérités enchâssées,
Comme de petites poupées
Que de vaines profondeurs
A l’intérieur de son coeur!
Un cri poussé, au creux de l’oreiller
L’angoisse porte ses fruits
Silencieusement dans mon lit.
Espace-temps de la destinée
Je marche avec lui de l’avant,
Avant la mort, amoureusement.


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Le Départ (BRATISKA III)
Vite, je vais manquer mon train!
Tandis que dehors il fait jour plein
Très doucement je me réveille.
T’ayant quitté sans un mot
Loin devant toi j’ai fait un sot
Et trace ma route au soleil.
Dans ton lit tu rêves peut-être
A d’autres contrées, d’autres êtres
Moi, je ne pense plus à toi.
J’arrive enfin à la gare
Le printemps, régnant de toute part
Libérée à jamais de toi.
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Sorcier (BRATISKA IV)
Tes yeux noirs brillaient d’une telle façon
Qu’instantanément elle y succomba.
Ton sourire exprimait une telle émotion
Qu’elle ne put l’oublier une seule fois.
Tu l’emmenas sur ton Nuage limbique
Pour une virée dans le ciel,
Quittant avec elle les terres magnifiques
De l’espace spatio-temporel.
Des affres naissantes
Troublèrent ses précieuses instances,
En elle grandissantes
Bientôt faiblirent ses résistances…
Sous le coup de ton tragique et mauvais sort,
Les ailes invisibles du désespoir
Dans l’abîme à jamais l’ayant faite choir
Elle t’aima, vaincue, jusque’à la mort.
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Bravo Bastien.
Ton ecriture simple nous ragaillardit de lire des choses de plus en plus compliquées.
Continue ainsi, peut être que ta gloire te sera posthume.
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