Premiers poèmes

Mon recueil est en vente à l’adresse suivante :

http://www.edilivre.com/viens-vis-vois-bratiska-byron.html

Viens, vis, vois

Autrement, vous pouvez trouver sur cette page des poèmes que j’ai écrit durant ces deux dernières années :

  1. Avec_Elle
  2. L’Homme_aux_quatre_visages
  3. L’air du temps amoureux
  4. 50_ans_de_mariage
  5. La_prison
  6. 6 mois avec Toi
  7. La chute
  8. Milles_étoiles
  9. L’athlète
  10. La_Foudre_et_la_Vie
  11. Méditation_apocalyptique
  12. pour joana
  13. Joana2
  14. Joana3
  15. Joana4
  16. Joana5
  17. Le Noir et le Rouge
  18. La lumière
  19. La Montagne
  20. La lune
  21. Le bateau
  22. joana6
  23. joana7
  24. Le temps
  25. La midinette
  26. Un rêve
  27. La France
  28. Satan
  29. Le chômeur
  30. L’existence
  31. L’orage
  32. joana8
  33. joana9
  34. L’heureux exil
  35. Napoléon
  36. Une inquiétude
  37. Un volcan
  38. Un voyage
  39. Une évasion
  40. La bohème
  41. Le chant du mendiant
  42. Une course martiale
  43. La mer
  44. L’Histoire
  45. Ce matin
  46. Les mains d’une femme
  47. La marche de l’Humanité
  48. Mon inspiration
  49. Le Chaos
  50. Un trésor
  51. La stèle

Vous avez des commentaires ou vous écrivez des poèmes ? N’hésitez pas à les publier ci-dessous … 😉

8 commentaires sur “Premiers poèmes

  1. Pensées nocturnes

    Dans les vicissitudes passées
    A l’aube d’un esprit ébranlé
    Cortex étouffé, accéléré
    Par le regret d’une âme souillée

    Sous l’illusion d’une impression
    D’être, par moment, le simple pion
    D’une apparente aliénation
    De vils espoir, d’aucune passion

    Trier, effacer et transcender,
    Une nouvelle vie va s’imposer
    Où l’existence prend tout son sens
    Que seul le cœur a en semence

    J’aime

  2. Ton cou entre mes mains
    Que je saisis à desseins
    Tu me souris
    Je te le rends avec mépris
    M’afférant à la tâche
    D’une étreinte sans relâche
    Tu te flétris
    Je te souris
    T’observant de mes yeux de fiel
    Les tiens se levant vers le ciel

    J’aime

  3. L’ayant vue des heures chanter
    Je me dis qu’il fallait tenter
    Je la rejoignis dans sa loge
    Je hasardais une éloge
    En lui frottant les hanches
    Déjà mon esprit flanche
    « Je me dois d’être fidèle », dit-elle
    Je t’offrirais uniquement ma rondelle
    D’accord madame, balbutiais-je
    Je sentais pour moi un privilège
    Puis par de douces caresses
    Sa bienséance je transgresse
    La quittant, je perçus une larme
    De sa jouissance j’eus été l’alarme
    Je sortis la gorge noué
    Ne sachant que lui avouer…

    J’aime

  4. BRATISKA

    Des vérités enchâssées,
    Comme de petites poupées
    Que de vaines profondeurs
    A l’intérieur de son coeur!

    Un cri poussé, au creux de l’oreiller
    L’angoisse porte ses fruits
    Silencieusement dans mon lit.

    Espace-temps de la destinée
    Je marche avec lui de l’avant,
    Avant la mort, amoureusement.


    

    J’aime

  5. Le Départ (BRATISKA III)

    Vite, je vais manquer mon train!

    Tandis que dehors il fait jour plein

    Très doucement je me réveille.

    T’ayant quitté sans un mot

    Loin devant toi j’ai fait un sot

    Et trace ma route au soleil.

    Dans ton lit tu rêves peut-être

    A d’autres contrées, d’autres êtres

    Moi, je ne pense plus à toi.

    J’arrive enfin à la gare

    Le printemps, régnant de toute part

    Libérée à jamais de toi.

    J’aime

  6. Sorcier (BRATISKA IV)
    Tes yeux noirs brillaient d’une telle façon
    Qu’instantanément elle y succomba.
    Ton sourire exprimait une telle émotion
    Qu’elle ne put l’oublier une seule fois.
    Tu l’emmenas sur ton Nuage limbique
    Pour une virée dans le ciel,
    Quittant avec elle les terres magnifiques
    De l’espace spatio-temporel.
    Des affres naissantes
    Troublèrent ses précieuses instances,
    En elle grandissantes
    Bientôt faiblirent ses résistances…
    Sous le coup de ton tragique et mauvais sort,
    Les ailes invisibles du désespoir
    Dans l’abîme à jamais l’ayant faite choir
    Elle t’aima, vaincue, jusque’à la mort.

    J’aime

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